Love me, even if it kills us both wt/ Cooper

"Love me, even if it kills us both"

L'amour est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un son effacé - Lamartine

Il avait appelé pour rendre rendez-vous pour entretien. Il voulait interviewé sur l’entreprise. Elle lui avait donné son numéro pour appeler directement et ne pas tomber sur la secrétaire. Ce qui était un avantage d’être un peu comme un particulier. L’enfant était auprès des grands-parents, comme chaque fois qu’il s’absentait. Il pouvait leur permettre ça, leur enfant avait disparu dans d'étranges conditions. Lolly était tout ce qui demeurait de leur enfant, et de ce qu’ils avaient vécu ensemble. Ils appréciaient la compagnie de l’enfant, et de pouvoir lui rappeler combien sa maman était une femme magnifique, et merveilleuse tout comme celle-ci. Ca même si ca provoquait inverse, et la renfermait parce qu’elle lui manquait. Il ne pouvait pas les empêcher de communiquer de leur enfant, c’était normal. Les souvenirs ils voulaient les partager, et c’était ce qui leur restait maintenant. Ils ne pouvaient pas revenir en arrière, sinon il aurait empêche de prendre l’automobile. Et elle n’aurait pas disparu comme ça, en les heurtant profondément. Lolly était contente de retrouver ses grands-parents, qui était actuellement à quelques kilomètres de la maison, donc c’était plutôt un grand avantage. Il avait pris de quoi noter, et sa sacoche comme d’habitude, avant de se rendre directement au rendez-vous. Le jeune homme avait déjà noter de quoi l’interroger. Il trouvait ça dommage qu’elle n’est pas remarqué sa main au-dessus la sienne, la dernière fois qu’ils étaient ensemble. Peut-être que les compliments seraient mieux.

Il se redressa, entra dans l’entreprise, en allant s’adresser à l’accueil pour prévenir que Madame Winter l’attendait. La dame l’indiqua le chemin, après avoir confirmé le rendez-vous. Il suivit les indications pour se retrouver devant une porte, noté “ Madame Winter ”. Le jeune homme frappa à la porte, avant d’attendre son autorisation. Lorsqu’il entendit, il entra calmement dans la pièce, puis finir par l’enlacer comme celle-ci auparavant. Michael n’avait pas l'habitude de ce comportement. Il était pourtant tactile, toutefois c’était différent auprès de cette femme. Il ne savait pas comment s’y prendre, un peu comme si c’était son premier béguin. Stupide, mais c’était comme il se sentait, même se sentant pas spécialement à la hauteur. Il était amoureux de celle-ci, malgré qu’il ne lui montrait pas gestuellement. Tout était compliqué, à savoir si elle ressentait les mêmes sentiments. Ou il se recevrait un vent, comme il avait reçu auparavant par les femmes. Il avança donc jusqu’à son bureau pour pouvoir lui adresser quelques phrases. Elle était aussi magnifique que les précédents jours, et aussi adorable comme personne.

― Bonjour, J’espère que je ne vous dérange pas, salua-t-il, même s’il savait qu’ils avaient actuellement rendez-vous pour l’interview.

@"Angela Winter" : Et voilà notre rp

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Juliet se portait bien. Il avait même demandé de préparer un souvenir pour son ancienne protectrice. Quelque chose qui la permettrait de la rassurer sur comment elle allait. Ils en avaient discuté ensemble, pour que cela soit portable, et suffisamment discret. Que personne ne se doute de quelque chose. Ils avaient optés finalement pour une carte postale. Et peut-être mettre un objet dedans comme rappel. Une fleur. Un bracelet. Quelque chose qui la représentait, que c’était bien elle. Lolly s’était rapproché de Juliet, qui avait pu connaître quelqu’un comme elle, une androïde. Le monde Icarus semblait plus important, que son école primaire apparemment. Il tenait vraiment qu’elle continue pour apprendre ce qu’elle ne connaissait pas. Ce n’était peut-être pas évident, surtout en compagnie des humains. Ils ne semblaient pas tous apprécié les androïdes, certains étaient comme leur entourage. Les considérant comme des esclaves, des machines, non comme des personnes. On ne décide pas qui on a comme camarades, ou même notre entourage. Elle ne se plaignait pas, mais il doutait qu’elle souffrait de leurs commentaires. Ce qui était normal, mais elle ne devait pas laisser les enfants l’atteindre. Les grands-parents lui donneront toute l’affection, et lui rappellent les souvenirs. Ils habitaient à proximité, du coup il pouvait la confier à quelqu’un pendant son absence. Cela le rassurait, savoir que quelqu’un pouvait s’en occuper en lui donnant beaucoup d’amour. Qu’ils ne la considèrent pas comme une androïde, une machine. Mais comme une personne, qui a des émotions, des sentiments également. Ils avaient compris quand leur enfant avait expliqué qu’ils avaient adoptés une “ androide ” pour exaucer leur souhait d’avoir un enfant, pour former ensemble une “ famille ”. Ils avaient pris comme elle était, en ne voyant aucune différence.

Il alla serein à son rendez-vous pour un interview concernant l’entreprise avec celle-ci. Elle avait conquis son coeur sans s’en rendre compte, et chaque visite était un bonheur de pouvoir la retrouver. Il espérait cela depuis un moment, qu’il s’était préparé pour entretien. La secrétaire indiqua donc le chemin pour se retrouver devant son bureau. Michael se sentait un peu nerveux, même s’il en avait habitude d’interviewer des personnes. Là il s’agissait de quelqu’un d’important pour lui, également son coeur. Et voulait ajouter des compliments, pour faire partager ses sentiments. Et ca même si depuis le début, il avait essayé de lui transmettre autrement. Comme en passant sa main sur la sienne, mais qu’elle n’avait pas remarqué. Il ne devait pas raté son coup maintenant, il frappa à la porte avant d’entendre sa voix. Qui indiquait que c’était ouvert, et qu’il pouvait pénétrer à l’intérieur. Il entra doucement, avant de la rejoindre pour l’enlacer poliment, humant son doux parfum. Il attrapa en premier temps la carte postale pour lui remettre doucement. Hélas, dans cet endroit, il ne pouvait pas communiquer de quoi il s’agissait. Mais elle comprendra en voyant le nom indiquait sur l’enveloppe le prénom de la personne. Qu’elle avait sauvé, et qui maintenant voulait lui transmettre un message de remerciement, et dire comment cela se déroulait dans ce nouvel environnement.

― Je me porte bien, et vous ? demanda-t-il, poliment, avant de rajouter, Ceci est pour vous, expliqua-t-il, sur le contenu de l’enveloppe qu’il avait remis tout récemment.

Il était venu pour un interview, comme il avait indiqué par téléphone, concernant l’entreprise. Il était heureux que cela soit elle, qui soit chargé de répondre aux questions. Peut-être en apprendrait-il sur sa profession, et même sur le nouvel androïde en préparation. Sinon il sera discret, et ne communiquera aucune information concernant ça. Il prendrait les informations qu’on voulait bien lui remettre. Sinon il expliquera à son supérieur qu’on ne pouvait pas obtenir cette information. Même si par moment il était indécrottable, il finirait bien par comprendre..

― Avez vous le temps pour un interview ? Je ne serais pas trop long, indiqua-t-il pour ne pas la retarder dans son emploi du temps.

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L'amour est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un son effacé - Lamartine

Il est vrai qu’il n’a pas eu le temps. Le dépot de son enfant chez les grands-parents, après la préparation de son sac-à-dos, et une douche rapide pour partir dans les temps. Le tout à temps pour pouvoir arriver à son rendez-vous qui comptait énormément. Son patron tenait à cet interview concernant le nouvel androide de l’entreprise. Il ne comptait demandé ce que celle-ci autorise, uniquement pour ne pas la contraindre à répondre à quelque chose. Ensuite il devait emmener ça pour la publication, avant de retrouver son enfant, et de l’emmener à l’école pour l’après-midi. Et un retour à Icarus pour prendre des nouvelles de ses protégés, auquel il avait promis d’être présent aujourd’hui. Le tout pour partager un moment ensemble. Une journée chargée, comme elle mais peut etre différemment, de leur emploi du temps. Le jeune homme éteignit son téléphone pour que personne ne le dérange pendant son entretien avec la blondinette, dont il était épris d’affection particulière. Micheal avait remis la lettre, un présent qu’il demande à chaque personne qu’il s’occupe, pour que leur ancien protecteur est des nouvelles actuellement.

― Je suis bien d’accord. On n’a plus une minute à nous, répondit-il, concernant leur emploi du temps.

Elle lui avait réservée la prochaine heure. Ils auraient le temps pour répondre aux questions. Il s’était préparé pour interview, concernant sa profession, et le nouvel androide. Car il s’intéressait à la personne, tout comme à l’entreprise, et les personnes (viewers) étaient intéressés de connaître des détails, pour savoir comment cela fonctionne. Il ne lançait pas directement sur le sujet, pour le feeling entre les personnes qu’ils interviewent. Et pouvoir avoir quelques informations délibérément. Surtout qu’il aimait beaucoup communiquer avec les personnes, et détendre l’ambiance comme il faisait normalement, car il sent qu’on est bienveillant auprès de lui. Elle appela donc pour donner l’ordre que tous les appels passent uniquement par la secrétaire. Il se sentait nerveux, un peu comme si c’était une rencontre. Alors qu’ils étaient parlé auparavant, peut-être le fait de l’interviewer personnellement. Cela devait surement être la raison de son état aujourd’hui, mais il était heureux de pouvoir partager du temps ensemble. Car chaque moment était un réel bonheur, et il ne manquerait pas un seul pour partager du temps en sa compagnie. La prochaine fois peut etre qu’il emmenerait Lolly pour qu’elle commence à l’apprécier.

Il fallait qu’elle retrouve confiance aux humains, même si après tout cela c’était compliqué. Angela était bienveillante, et ne voulait aucun mal aux androïdes. Il faudrait surement du temps pour adaptation. Même si elle craindra que celle-ci remplace sa maman. Au vue de la situation, il ne songerait pas à remplacer quiconque. Personne ne remplacera personne. Micheal n’avait pas intention que quelqu’un remplace son ex-compagne. Elle était encore dans son coeur même si celui-ci aimait profondément une autre personne. Et ses souvenirs seront ancrés dans sa mémoire, pour lui rappeler les premiers moments quand ils avaient eu l’enfant. Tout le chemin qu’ils ont parcouru ensemble, jusqu’au jour malheureux de son départ. Beaucoup de larmes ont été versés, peut-être trop pour les compter exactement. Là n’était pas le moment à la nostalgie, il devait se reprendre pour interroger la jeune femme, maintenant.

― D’accord. Pour commencer, quel fonction occupe une magnifique jeune femme comme vous à la Talos Industries ? interrogea-t-il, en prenant un ton sérieux, et décontracté.